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Interview : Marinel Elodie, nouvelle responsable des MAE à Nantes.

Dans cette interview, Elodie Marinel, responsable des MAE chez Optima à Nantes, nous partage son parcours, ses aspirations, et sa vision pour le projet. 
Est-ce que tu peux te présenter ?
Je suis Elodie Marinel cela fait un mois et demi que je suis arrivée chez Optima Médiation. Je suis responsable des Médiateur/trice/s à l’Ecole (MAE) à Nantes.
À l’origine, je viens du Nord de la France, je suis arrivée à Nantes en 2018. Juste avant, j’étais à Paris et à Angers. 
C’est quoi ton parcours scolaire ?
Au début, mon idée était de devenir professeure ou CPE. Seulement, avec mes expériences dans le bénévolat et aussi grâce à mes activités extra-scolaires, dont les voyages, j’ai réalisé que cela me donnait envie de me diriger vers la gestion de projet humanitaire, ou éducatif et avec un but social.
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Pourquoi responsable des MAE ?
Responsable des MAE, car mon parcours en amont était dans l’éducation populaire. Je travaillais pour la ligue de l’enseignement.
J’ai piloté des volontaires en service civique pendant plusieurs années, j’ai fait des interventions dans des écoles et j’ai formé des professeurs. C’est un champ d’action qui me plaît énormément. 
Une autre raison, c’est que j’ai été AED (Assistante d’éducation) et grâce à ça, je vois le lien avec la médiation à l’école.
De plus, je trouvais le projet d’utilité publique, et ça me plaisait de retourner dans le milieu de l’éducation. 

 

Quels sont tes objectifs à court et long termes ?
À court terme, c’est de saisir les enjeux de ce poste. De plus, c’est aussi de connaître les différents liens avec les écoles élémentaires, les collèges, les territoires, d’apprendre comment on fait avec les bonnes pratiques. Mon but est de pouvoir reprendre le travail qui a déjà été effectué et de le continuer au mieux.
Pour finir, à court terme, c’est d’apprendre à connaître les équipes. Pour le long terme, c’est de mener à bien la continuité du projet.
Comment vois-tu évoluer le projet avec toi ?
Les financeurs ont une attention particulière à ce qui est le « rendre compte ». J’ai pris l’habitude dans mon ancien projet, qui était financé par l’Europe, de rendre compte à travers des bilans, des documents pour montrer l’avancée des projets, et je voulais garder cette rigueur. De plus, les bilans sont très importants pour l’évaluation du projet.
Mon souhait est aussi que les personnes en fin de poste trouvent un emploi qui correspond à ce qu’elles ont fait.
Mon autre souhait est que les postes soient plus ancrés dans le territoire.

 

Quels sont les éléments en plus que tu apportes grâce à tes expériences passées ?
Mon ancien poste était financé par l’Europe, donc tout ce que je voulais dépenser, je devais le justifier, même pour un cahier.
Grâce à cela, j’ai adopté une tenue de rigueur de ce que je dois faire et d’être transparente. C’est quelque chose qui me va, car on doit faire attention sur comment on dépense l’argent public.
La rigueur que j’apporte est importante, puisque c’est aussi ce que demandent les financeurs. On me demande aussi d’être présente sur le côté partenarial, c’est-à-dire de bien présenter et de donner des nouvelles pour les recrutements des prochains MAE, des postes en cours, ce qu’on organise et ce qu’on peut mettre en place.
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Ton avenir chez Optima ?
Dans mon ancienne association, je suis restée 3 ans et demi. Ma perspective pour Optima, je ne l’ai pas encore, comme je viens d’arriver. Ce que je peux dire, c’est qu’il y a beaucoup de choses à faire chez Optima. Ça me plaît parce que même si je suis responsable des MAE, au quotidien je vois les médiateurs et médiatrices de quartier. Je dois comprendre leurs enjeux, et j’ai le temps pour comprendre les leurs, mais aussi sur les autres types de médiations et de voir aussi l’étendue des projets.

29Jan2024

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